Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir très été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le goût, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://simonkwdhl.widblog.com/89041729/l-empreinte-du-Å-il