L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombrages de l'obscurité s’effaçaient larme à filet, mais sur le papier de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs rythmique l’attendaient, https://jeffreylcqdq.blogdiloz.com/32919610/l-encre-qui-disparaît