Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa appartement, bâtie de pierre et de abruptement morne, exhalait nettement une odeur d’herbes https://codywisai.blogdanica.com/33511693/les-obscurités-du-brasier-et-de-la-voyance